14. Ajustage méthodologique sur l'Apocalypse de saint Jean.
- cesar bki

- 14 oct.
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En guise de support, nous restons avec la version Larousse. Pour préciser l'analyse, nous pourrons utiliser des notes grecques en marge.
Le but est de poser clairement la grammaire que nous utilisons depuis le début, pour alléger la suite.
Nous fixons ici trois règles simples employées dans les posts précédents :
Le référentiel
le fil est simple :
— Les Trompettes = plan céleste avec un cadre planétaire ; la mesure récurrente est le tiers.
— Les Coupes = plan terrestre avec un cadre régional (épicentre théorique à Patmos) ; les effets y sont totalisants dans le périmètre.
Conséquence : quand une formulation des Coupes paraît “absolue”, nous la lisons comme totalité de périmètre (et non “monde entier”). Nous ne cherchons pas l’identité mot à mot, mais la cohérence d’ensemble des domaines d’atteinte (terre / mer / eaux / astre…), avec la graduation côté Trompettes et la matérialisation côté Coupes.
Anaphores / pronoms
La règle de travail est qu'un relatif ou un pronom renvoie toujours au dernier antécédent valide dans l'ordre de reconstruction. Nous évitons donc de séparer un antécédent de son renvoi quand nous déplaçons un bloc de versets ; si une ambiguïté apparaît, nous la notons et nous ne forçons pas la phrase.
Notre exigence minimale est de ne pas utiliser “d’artifice” pour sauver un choix de correspondance entre versets. Si nous devons inventer une hypothèse ad hoc, nous marquons “à re-tester plus tard” et nous avançons. [Note texte grec] Quand le grec porte un relatif clair (“… que je vis”) ou un possesseur (αὐτοῦ), nous le mentionnons si cela aide à comprendre pourquoi tel déplacement reste propre.
Messager au seuil
Au terme de la séquence, un messager rouvre le dialogue avec Jean et montre ce qui descend du ciel (fiancée, Jérusalem nouvelle). Nous appliquons ici la règle suivante :
— Cas explicite : quand la version Larousse nomme l’ange (ex. “un des sept anges des coupes”), nous le conservons tel quel.
— Cas implicite : quand la version Larousse cite « l'ange me dit » et que la version grecque conserve le sujet implicite « "il" », nous résolvons la différence à l'aide du cadre : En fenêtre céleste, la lecture de ce verset peut relever d’un Vieillard. [Note texte grec] nous n’opposons pas Larousse et le grec : nous indiquons seulement où le grec laisse ouvert (sujet implicite) et nous tranchons par le contexte (ciel/terre).
Conclusion
Ces règles sont désormais posées et nous n’y reviendrons qu’en marge si nécessaire. Nous pouvons maintenant ouvrir le dossier des Signes (repères terrestres), en miroir des Sceaux de l'Apocalypse de saint Jean, pour baliser la même progression.







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